Culottes à cadenas plug et couches pour une ABDL

Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 10 ans

Par Ecrivaillon

Martine a découvert le monde ABDL avec son mari sur Fessestivites. L’idée les a amusé, surtout lui qui est toujours en recherches d’idées coquines. S’ils pratiquent l’ABDL, ils s’adonnent un peu au BDSM soft, disons que dans ce monde, ils y apprécient les jeux de contraintes dans aller dans le SM.

Au fil du temps, Martine a fini par accepter de porter des couches pour adulte même pour sortir, cela excite son mari qui devient dans ces moments là très câlins, très attentif voir plus amoureux. Ce qu’elle n’est toutefois pas arrivé à faire, c’est uriner dans sa couche, c’est une forme de blocage psychologique auquel se rajoute qu’elle a peut d’avoir des fuites.

Lors d’un petit jeu entre eux, Henri a gagné un gage nommé « libre choix » ce qui signifie qu’elle ne peut pas refuser de faire ce qu’il décide. Elle s’est étonnée qu’il n’en profite pas tout de suite, tout comme d’apprendre qu’ils allaient recevoir un colis par la poste mais qu’elle n’aurait pas le droit de l’ouvrir. Pensant à une surprise, elle a joué le jeu et n’a pas ouvert le carton déposé par le facteur.

Un vendredi, Martine étant en RTT et sans obligation de sortir, Henri lui a annoncé qu’il allait utiliser son « libre choix » avant de partir travailler. La douche prise, Martine du se rendre nue au salon pour y être préparée. Elle se doutait bien qu’il allait lui imposer une couche mais ne s’attendait pas au piège qui l’attendait. Invitée à s’étendre sur une grande serviette posée sur le sol, elle se laissa poser une couche pour adulte mais ne vit pas qu’elle était percée. Très joueur, il détourna ses pensés en lui mettant un petit plug dans le vagin, en ajoutant comme commentaire qu’elle penserait à son chéri toute la matinée chaque fois qu’elle s’assiérait.

Elle ne compris pas non plus pourquoi il lui en posa une seconde ni une troisième. Martine essaya bien de savoir pourquoi il lui mettait trois couches, mais en vain, son mari lui adressa un baiser en guise de réponse. Au sourire amusé qu’il affichait, elle savait bien qu’il lui préparait quelque chose mais quoi ?

Lorsqu’il attrapa le colis livré par la poste, elle découvrit qu’il avait acheté une culotte en plastique équipée d’une chaîne en guise de ceinture. Lorsqu’il lui passa cette culotte en plastique elle comprit le piège et essaya de négocier avec lui qu’il ne l’oblige pas à faire pipi dans la couche.

  • Tu dois bien pouvoir tenir trois heures sans faire pipi, donc au cas où tu n’y arriverais pas, je t’ai mis trois couches, comme ça tu ne risques pas d’avoir des fuites pour un simple pipi. Et puis, rien ne t’oblige à faire pipi d’ailleurs ! Je cacherai la clé dans la maison, tu n’auras qu’à m’appeler vers midi pour que je t’indique où elle est.

Avec sa galanterie habituelle, il l’aida à se relever, ferma le cadenas de la chaîne de la culotte en plastique et l’aida même à enfiler sa robe. Le téléphone sonna, Henri alla répondre, ce n’était qu’un collègue de travail en panne de voiture lui demandant de le prendre en passant. Pour ne pas arriver en retard, il se pressa donc qui quitter les lieux nous sans faire un énorme bisou d’amour à sa femme.

Martine commence à vivre quelque chose de nouveau en l’absence de son mari, son idée de jeu est grisante, car entre le plug qu’elle porte en son vagin et le fait d’être dans l’incapacité de se toucher le sexe l’excite. Il ne s’agit pas de se tripoter ou de se caresser, non, tout simplement de ne pas pouvoir se gratter. C’est fou pense t’elle, je n’aurai jamais imaginé que l’on se touche autant le sexe. Faire le ménage avec trois couches et un plug rebelle est aussi très particulier comme sensation, s’asseoir pour prendre un thé la trouble au plus haut point. Vers 11 heures, alors qu’elle s’apprête à faire son repassage, le thé consommé dans la mâtiné commence à se faire sentir au niveau de la vessie. Suis-je bête, j’aurai du y penser. Tant bien que mal, elle résiste à son envie d’uriner jusqu’à 11h30 où cela devient un impérieux besoin. Martine est d’un naturel têtue, elle ne cédera pas et même si elle le voulait, elle est convaincue de ne pas y parvenir. Pour elle, les minutes n’ont jamais été aussi longues ! Ses yeux n’arrêtent pas de regarder la pendule jusqu’à midi, l’heure convenue pour téléphoner à son mari pour savoir où il a caché la clé du cadenas de sa culotte en plastique.

  • Allo chéri, c’est l’heure de la libération de ta petite femme.

  • Oh merde ! J’ai oublié de laisser la clé !

  • Arrête tes bêtises, dit-moi où elle est.

  • Je te jure que j’ai oublié, je l’ai mise dans la poche de mon pantalon et quand Jack m’a téléphoné pour que je passe le prendre j’ai zappé.

  • Et bien tu vas sauter ta pause déjeuner pour venir libérer ta petit femme adorée.

  • Je ne peux pas, ils m’ont envoyé à Nancy, cela fait deux heures de route chérie.

  • Tu n’es pas sérieux ? Dis-moi que ce n’est pas vrai !

  • Je te le jure, je suis à Nancy et en clientèle à 14 heures. Je suis désolé, déchire la culotte si tu veux, c’est la seule solution que je vois.

Martine est folle de rage, détruire la culotte en plastique est effectivement une solution mais elle n’aime pas l’idée de gâcher ou jeter, cela ne correspond pas à sa façon d’être.

  • Je vais y réfléchir mais tu me dois un « libre choix » pour m’avoir fait ça ! Répond martine furieuse avant de raccrocher.

Elle n’en peut plus et sent bien qu’elle ne tiendra pas jusqu'au retour de son mari, les jambes serrées, elle se tient au meuble du téléphone comme si elle allait tomber quand soudain, elle commence à craquer. Tout son corps se met à trembler, elle claque presque des dents en essayant de limiter la pression de son urine en en relâchant un peu pour se soulager. Juste un peu se dit elle, juste un peu. Quoi que l’on fasse, il arrive un moment où la nature reprend ses droits, totalement piégée elle finit par se lâcher, de tout façon, même si elle avait voulu déchirer la culotte, elle n’est même pas sure d’arriver aux toilettes.

Martine est furieuse, car baigner dans son urine ne l’enchante pas du tout, mais elle découvre que les couches qu’il lui a mises absorbent sans peine son pipi qui n’en finit plus. Une impression de chaleur monte de son bas ventre jusqu’à sa tête, cette impression très agréable est pour elle dû au fait de se soulager, cela ne peut être autrement. « Tu vas me le payer » pense t’elle. Lorsqu’elle s’assoie à table pour grignoter ses carottes râpées, le plug se rappelle à elle, prise dans sa tourmente urinaire, elle l’avait oublié celui-là.

Dans l’après-midi, elle s’accorde une pause télévision, l’envie d’uriner revient, étendue sur le canapé elle n’arrive pas à faire. Aux pieds du mur de ses envies naturelles, une heure plus tard, elle se lève pour s’abandonner à nouveau dans ses couches. La deuxième fois lui semble moins difficile mais ce n’est pas pour elle un grand moment de plaisir, elle essaye donc de se limiter. En se rasseyant, le plug toujours en son vagin déclenche la suite du pipi retenu, cette fois elle craque en jurant et se laisse totalement aller.

Pour se changer les idées, elle surfe sur fessestivites et y trouve des idées très coquines voir même perverses dans la rubrique jeux du site. Son doudou d’amour va « prendre cher » quand elle va se venger avec un « libre choix » qu’elle va lui concocter. Elle se rend sur ABCplaisir et commande deux paires de menottes avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

A peine arrivé, Henri se précipite sur sa femme, s’excuse et l’embrasse avec fougue en constatant qu’elle est toujours en couches et n’a pas déchiré la culotte en plastique.

Tu vas morfler mon chéri d’amour, je t’ai concocté un « libre choix » que tu ne peux me refuser. Lui répond Martine en le serrant dans ses bras.

La suite est ici

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement